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Critiques du spectacle Intersections

« Intersections, puissant docu-théâtre engagé, fait mentir ce qu’une année de pandémie se sera échinée à cruellement nous démontrer, en pulvérisant les limites des échanges par écrans interposés. Cinq indignés, des artistes chacun dans leur bulle (depuis Téhéran, Tunis, Barcelone, Montréal et Taipei), racontent la part intime qui nourrit nos indignations et nos élans révolutionnaires. La pièce inspirante de Mireille Camier et Ricard Soler Mallol est un bijou d’œuvre directe et interactive (de grâce, gardez la caméra ouverte et laissez-vous porter). »

Louise-Maude Rioux Soucy, Le Devoir


« Depuis le début de la pandémie, nombreux sont les artistes qui se sont tournés vers la technologie pour rejoindre virtuellement leur public. Qu’on le diffuse en direct — mais avec des interactions limitées — ou par des captations préenregistrées, c’est un exercice qui a pu prendre des allures de beau compromis. À défaut de pouvoir se retrouver en personnes pour célébrer la musique ou le théâtre, c’est mieux que rien… L’équipe d’Intersections réussit à amener le concept vers quelque chose de plus chaleureux, qui ressemble davantage à un échange. Après un an de restrictions et d’isolement, soyons honnêtes, se brancher sur Zoom est souvent devenu plus une corvée qu’autre chose pour les étudiants et les télétravailleurs. Ce spectacle nous donne des raisons de nous réconcilier (au moins un peu!) avec la plateforme. »

Geneviève Bouchard, Le Soleil


« Un terrain de jeu fascinant et agaçant à la fois qui cherche à s’affranchir de la définition même du théâtre : des acteurs et des actrices physiquement présent·es, de voix et de corps, dans un espace qui leur est dévolu. »

Maud Cucchi, Revue JEU


« Les personnages apparaissent à l’écran, chacun de chez eux, dans la ville où leur histoire s’est passée, dans leur fuseau horaire, et ils nous parlent dans les yeux (malgré la caméra) […] ils s’interprètent eux-mêmes, ils sont comme les voix d’un documentaire, mais ils sont aussi des acteurs et des actrices. C’est cette nuance qui fait que nous n’assistons pas à une conférence mais à une pièce de théâtre. Pour un spectacle où l’humour et l’émotion sont présents. […]

Le succès d’Intersections est d’exploiter la technologie sans en faire le protagoniste. La grâce de tout cela ne se trouve pas dans l’artefact mais dans l’histoire. Skype, tout comme le focus ou la scénographie, n’est qu’un élément qui facilite l’histoire, un moyen d’atteindre un objectif.

Les intersections nous font réfléchir sur le pouvoir populaire et les effets de la lutte de rue pour ceux qui en font partie. Sans ingéniosité ni idéalisation et, paradoxalement, avec beaucoup de corps. Une expérience des plus intéressantes. »

Gema Moraleda, Somnis de teatre (Barcelone)


« En terminant, Intersections est un spectacle intéressant tant pour son propos que pour sa forme. Si on est plus familier avec le printemps érable, il est fascinant de découvrir les autres mouvements et leurs similitudes avec le nôtre. De plus, la mise en scène dynamique de Mireille Camier et Ricard Soler Mallol fait en sorte qu’en aucun moment on se lasse de regarder les écrans.»

Nancie Boulay, ARP.media

Critiques du spectacle Ivresse

Ivresse, Coup de coeur du 14 mars 2017 de La Presse +

« Le texte de l’Allemand Falk Richter frappe fort au plexus solaire des relations rendues impossibles dans cette humanité en déclin. Alexis Lefebvre y est étincelant. »

Mario Cloutier, La Presse +


« Je vous recommande cette ivresse… une mise en scène éclatée de Mireille Camier, très chorégraphiée, très rassembleuse. »

Francine Grimaldi, Samedi et rien d’autre


« Partout autour de nous, et souvent en même temps, dans une cacophonie pourtant précise, les comédiens, qui jouent leur propre personnage, expriment sans ménagement leur colère incontrôlable, leurs doutes constants, leurs névroses croissantes et leurs désirs inassouvis. »

Christian St-Pierre, Le Devoir


« Le génie de cette mise en scène de Mireille Camier ? C’est l’impression d’être carrément assis dans un réseau social. Comme des voyeurs, on peut observer les relations des autres s’enflammer, s’étioler, mourir…»

Mélissa Pelletier, Les Méconnus


« Et le propos est éclairé par une mise en scène endiablée. Ça bouge, ça chante, ça se démène, c’est extrêmement vivant. »

Marie-Claire Girard, theatre cambriesis


« L’ambiance à la fête, de belles trouvailles ludiques, les jeux souvent physiques, provoquant les rires de l’assistance, sont mis en contraste avec les discours effrayés ou dénonciateurs devant la marche du monde. »

Raymond Bertin, Jeu


« Ivresse, un texte choc et magnifique sur l’incapacité à rejoindre l’autre. La structure de la pièce semble être une entité organique, bonifiée par la participation du public. La relation acteur et spectateur est intime et riche, à l’image d’une relation de couple, dans une dynamique de demande d’attention versus le besoin de vivre une expérience. Le spectateur prend part à cette recherche d’une intimité authentique, non formatée, et c’est là une des grandes forces de cette production. »

Raphaël De Gaspard, Ton Barbier


« Rarement aura-t-on vu une mise en scène aussi bien agir avec le propos. Ici, chapeau à Mireille Camier. La redéfinition du rapport spectateur-comédiens mérite reconnaissance autant que d’être davantage explorée dans les années à venir sur les scènes contemporaines. Mireille Camier, précurseur en la matière, montre du talent pour habiter la scène et composer avec des paramètres hors-norme. »

Emily G, M Webzine

Critiques du spectacle Le Dragon d’Or

« Parfois, ça sonne à la porte, située à l’arrière-scène. De la nourriture chinoise authentique est livrée. L’interruption de service dramaturgique trouve très bien sa place dans une trame narrative qui, dès le départ, cherche à déstabiliser le spectateur en allant le chercher derrière son 4e mur. On a l’impression d’être devant — et dans un objet scénique organique qui prend forme et vie dans l’instant. […] Le spectateur est promené d’un fragment à un autre avec un naturel déconcertant, mais aussi un jeu mis en relief par les comédiens. Ici, en improvisant un costume d’hôtesse de l’air avec des chapeaux en papier et du ruban adhésif, là en mettant des hommes dans des rôles de femme. Et inversement. »

Fabien Deglise, Le Devoir


« La pièce se démarque par son inventivité, sa justesse et son originalité, très rafraîchissantes et fascinantes à observer. »

Éloïse Choquette, pieuvre.ca


« […] les corps des comédiens se donnent totalement à cet exercice conceptuel totalement surréaliste. Ils font tous face aussi à une mise en scène de Mireille Camier qui, soyons honnêtes, a totalement assimilé l’esprit désinvolte et engagé d’un auteur européen qui a compris les enjeux de son époque. »

Élie Castiel, Séquences


« Le texte est une réelle mine d’or pour une équipe, et, dans ce cas-ci, la production semble avoir cherché à utiliser le maximum d’éléments qu’offrait la pièce. Et c’est totalement réussi. »

Pascale St-Onge, montheatre.qc.ca

Critique du spectacle Le Chien, la nuit et le couteau

« Le thriller est un style très difficile à reproduire au théâtre. La metteuse en scène Mireille Camier y arrive brillamment en plaçant dès le début les spectateurs au cœur de la première scène. »

David Lefebvre, montheatre.qc.ca


« Le travail de mise en scène de la toute jeune Mireille Camier impressionne. Le sordide chevauchement de séquences est parfaitement enchaîné, et ce, à partir d’une totale exploitation de l’espace défiant les règles habituelles du spectacle théâtral. »

Yves Rousseau, Le Quatrième