Critiques du spectacle Ivresse

Ivresse, Coup de coeur du 14 mars 2017 de La Presse +

« Le texte de l’Allemand Falk Richter frappe fort au plexus solaire des relations rendues impossibles dans cette humanité en déclin. Alexis Lefebvre y est étincelant. »

Mario Cloutier, La Presse +


« Je vous recommande cette ivresse… une mise en scène éclatée de Mireille Camier, très chorégraphiée, très rassembleuse. »

Francine Grimaldi, Samedi et rien d’autre


« Partout autour de nous, et souvent en même temps, dans une cacophonie pourtant précise, les comédiens, qui jouent leur propre personnage, expriment sans ménagement leur colère incontrôlable, leurs doutes constants, leurs névroses croissantes et leurs désirs inassouvis. »

Christian St-Pierre, Le Devoir


« Le génie de cette mise en scène de Mireille Camier ? C’est l’impression d’être carrément assis dans un réseau social. Comme des voyeurs, on peut observer les relations des autres s’enflammer, s’étioler, mourir…»

Mélissa Pelletier, Les Méconnus


« Et le propos est éclairé par une mise en scène endiablée. Ça bouge, ça chante, ça se démène, c’est extrêmement vivant. »

Marie-Claire Girard, theatre cambriesis


« L’ambiance à la fête, de belles trouvailles ludiques, les jeux souvent physiques, provoquant les rires de l’assistance, sont mis en contraste avec les discours effrayés ou dénonciateurs devant la marche du monde. »

Raymond Bertin, Jeu


« Ivresse, un texte choc et magnifique sur l’incapacité à rejoindre l’autre. La structure de la pièce semble être une entité organique, bonifiée par la participation du public. La relation acteur et spectateur est intime et riche, à l’image d’une relation de couple, dans une dynamique de demande d’attention versus le besoin de vivre une expérience. Le spectateur prend part à cette recherche d’une intimité authentique, non formatée, et c’est là une des grandes forces de cette production. »

Raphaël De Gaspard, Ton Barbier


« Rarement aura-t-on vu une mise en scène aussi bien agir avec le propos. Ici, chapeau à Mireille Camier. La redéfinition du rapport spectateur-comédiens mérite reconnaissance autant que d’être davantage explorée dans les années à venir sur les scènes contemporaines. Mireille Camier, précurseur en la matière, montre du talent pour habiter la scène et composer avec des paramètres hors-norme. »

Emily G, M Webzine